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C’est un EPN historique. Il existe depuis plus de 10 ans au centre de Paris, tout près du Forum des Halles, rue des Bourdonnais. Le centre d’accueil de jour L’Agora Emmaüs Solidarité pour les personnes de la rue possède en son sein un espace public numérique ouvert à tous et aux exclus.
Ce lieu est animé par des bénévoles et fonctionne tout au long de l’année. Bien évidemment, l’aide apportée et la connexion Internet y sont gratuites. L’accueil y est anonyme
Le dispositif 2000 emplois d’avenir dans les EPN se dote d’un dépliant d’information 6 volets librement téléchargeable à cette adresse (en pdf, 2 pages).
Cette information est à imprimer et à distribuer auprès des décideurs locaux (élus, agents territoriaux, entreprises, associations), des jeunes concernés par les emplois d’avenir, des missions locales, à Pôle Emploi et des espaces publics numériques (EPN).
Il y est résumé le programme en points-clés synthétiques et y est délivré les contacts pour embaucher un emploi d’avenir au sein d’un lieu d’accompagnement à l’Internet en France.
A côté des fablabs, les living labs essaiment en France et dans le monde. Le living lab est un lieu partagé pluriel dans son approche et dans sa forme :
“il regroupe des acteurs publics, privés, des entreprises, des associations, des acteurs individuels, dans l’objectif de tester “grandeur nature” des services, des outils ou des usages nouveaux. Il s’agit de sortir la recherche des laboratoires pour la faire descendre dans la vie de tous les jours, en ayant souvent une vue stratégique sur les usages potentiels de ces technologies (…) Il s’agit de favoriser l’innovation ouverte, partager les réseaux et impliquer les utilisateurs dès le début de la conception.”
Dans le cadre des formations proposées par l’URFIST – Unité Régionale de Formation à l’Information Scientifique et Technique de Bretagne et des Pays de la Loire, les formateurs Marie-Laure Malingre (conservateur de bibliothèque) et Alexandre Serres (maître de conférences en Sciences de l’Information et de la Communication) ont proposé en mai 2014 une formation qui a donné lieu à la publication d’un support en Creative Commons : Outils de travail collaboratif (voir en fin d’article).
Ce support de formation fait le point en 122 diapositives sur les outils collaboratifs avec un vaste panorama complété par un pad utilisé en mode simultané par les stagiaires (questionnaire sur les pratiques, connaissances et besoins) et d’une veille en ligne en continu sur les outils collaboratifs par l’unité régionale de l’URFIST.
L’objectif de l’association France IOI est de faire découvrir la programmation et l’algorithmique au plus grand nombre de personnes possible, avec l’intime conviction que si une personne est motivée et dispose de très bons outils pour l’aider à apprendre, elle peut progresser très rapidement !
Voici les dates des prochains événements :
– Le week-end du 17-18 mai, se déroulera la 2ème pré-sélection du concours de programmation et algorithmique Algoréa 2014, ouverte à tous les jeunes français jusqu’à la classe de 1ère. Le concours comportera 4 challenges à résoudre chez soi en 2h30. Les premiers challenges sont accessibles à tous, tandis que les derniers impliquent un certain niveau de réflexion, mais relativement peu de connaissances.
Les 20 premiers au minimum de chaque présélection seront qualifiés pour la demi-finale du concours, qui aura lieu la dernière semaine de juin. La finale aura lieu la dernière semaine d’août et se déroulera au cours d’un stage d’une semaine, organisé à l’Epita. L’ensemble du concours est gratuit. Il constitue la toute première étape de la sélection et de la préparation de l’équipe de France pour les IOI, en motivant les jeunes à s’entraîner d’une étape à la suivante du concours.
Les informations sur le concours sont disponibles sur http://www.algorea.org
– Du 13 au 20 Juillet, l’équipe de France rejoindra 80 pays aux IOI (International Olympiad in Informatics), à Taiwan. La sélection de l’équipe s’est faite sur une succession de 14 épreuves étalée sur plusieurs mois, et culminant par une finale et un stage, qui se sont déroulés dans les locaux d’Epita, du 24 au 30 Avril.
Les 4 candidats sélectionnés sont :
Lucas Pesenti, élève de terminale, David Cheikhi, élève de terminale, Tomas Rigaux, élève de terminale, Arthur Léonard, élève de quatrième
Ils seront accompagnés aux IOI du 13 au 20 juillet par des formateurs IOI pour un dernier entraînement d’une semaine.
Les 4 candidats étaient parmi les finalistes du concours Algoréa 2013, certains d’entre-eux s’étant réellement mis à l’algorithmique au fil du déroulement de ce concours.
– Enfin, sur une semaine mi-novembre 2014, se déroulera la quatrième édition du concours Castor, destiné à faire découvrir et intéresser aux sciences du numériques un maximum de jeunes, par une quinzaine de questions interactives. Le concours est organisé en salle informatique dans les collèges et lycées français (plus de 1350 établissements en 2013 pour 170 000 participants). France-IOI co-organise ce concours avec l’ENS Cachan et Inria, et prend entre autres en charge tout l’aspect technique du concours.
http://www.castor-informatique.fr
– Et bien sûr, toute l’année, toute personne francophone motivée par la programmation et l’algorithmique, peut apprendre par la pratique chez elle ou en classe sur la plateforme france-ioi.org. L’apprentissage va de la découverte des bases de la programmation jusqu’à un niveau élevé en algorithmique.
et pour information :
La finale de Prologin se déroule cette semaine du jeudi 8 mai samedi 11 mai sur le campus principal de l’EPITA au Kremlin Bicêtre (http://www.epita.fr/contact-plan-acces-ecole.aspx).
Pour en savoir plus sur la phase des finales :http://www.prologin.org/contest/finals
Pour en savoir plus sur le concours et les grandes étapes : http://www.prologin.org/contest
Comment utiliser les réseaux sociaux numériques (RSN) dans un cadre pédagogique ? En avril 2014, il a été proposé un stage de formation aux enseignants documentalistes de l’Académie de Caen sur la thématique : Facebook, Internet et les profs docs.
Objectif de ce stage coordonné par Frédérique Yvetot : Que faut-il aborder comme services de réseaux sociaux en ligne avec les élèves ? Sous quelles formes ? Comment exploiter pédagogiquement ces nouvelles possibilités ?
Cette journée en groupe a permis de découvrir les possibilités et spécificités des outils, de réfléchir aux compétences particulières à travailler et à mobiliser chez les apprenants et à définir des scénarios pédagogiques pour améliorer les pratiques des élèves.
Ce cadre pédagogique peut également être utilisé par des apprenants adultes et dans le cadre d’activités en EPN (espace public numérique).
Peut-on s’entraider à réparer des objets avec des bricoleurs confirmés, apprendre à réparer des objets du quotidien au lieu de les jeter ?
Les repair cafés sont des rendez-vous non lucratifs au sein d’EPN (espaces publics numériques), de centres sociaux, de lieux associatifs qui proposent d’apporter des objets inutilisables et de les réparer en mode collaboratif.
Les réparateurs y sont bénévoles et transmettent leurs savoirs et compétences à des citoyens… Tout le monde devient alors un bricoleur confirmé!
Cf. en fin d’article, le reportage vidéo sur le Repair Café Paris au Centre social Espace 19 Riquet (par Alexandre de Pommereau, Le Monde Académie).
Service-Public.fr a publié cette semaine un article de référence Contenus publiés sur internet : qui est responsable ? décliné sous la forme d’une fiche pratique intitulée : Responsabilité des contenus publiés sur internet qui explicite en Droit français sur cette thématique les droits et les devoirs de l’internaute :
“C’est l’auteur d’un contenu publié sur internet (texte, vidéo…) qui est en le responsable et sera condamné si ce contenu s’avère illicite. L’hébergeur ne sera responsable que s’il a délibérément mis en ligne ou laissé en ligne ce contenu illicite.”
Les 2 portails NetPublic.fr et NetEmploi.fr (coordonnés par la Délégation aux usages de l’Internet) sont placés sous l’autorité du Ministre de l’économie, du redressement productif et du numérique, Monsieur Arnaud Montebourg et par délégation par la secrétaire d’Etat chargée du numérique, Madame Axelle Lemaire. Extrait du Décret n° 2014-435 du 29 avril 2014 relatif aux attributions déléguées à la secrétaire d’Etat chargée du numérique :