Guide des bonnes pratiques des réseaux sociaux (par la Préfecture de Police de Paris)

bonnes pratiquesEn janvier 2013, la Préfecture de Police de Paris a édité un guide des bonnes pratiques des réseaux sociaux pour ses agents : les bonnes pratiques des réseaux sociaux : le guide de la Préfecture de Police (en pdf) librement téléchargeable en ligne.

Cette initiative de sensibilisation et d’initiation aux pratiques de contribution sur les réseaux sociaux se concrétise via un dossier didactique de 16 pages avec “bonnes pratiques, conseils et règles de conduite pour un usage responsable et avisé de ces plate-formes”.

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Bonnes pratiques pour améliorer la qualité de sites Web

logo Bonnes pratiques Opquast

Depuis quelques années, la liste de bonnes pratiques pour améliorer la qualité de sites Web fournie par Opquast s’est imposée dans l’univers de l’Internet français.

Ce projet coordonné par Elie Sloïm agrège point par point, la description de bonnes pratiques (217 à ce jour) réparties en 21 thématiques et classées par niveau d’importance (de 1 à 3) permettant à toute personne gérant un projet Internet (webmestre, maîtrise d’ouvrage, chef de projet…) de lister ce qui doit constituer des repères efficaces afin que l’internaute puisse, sur un site Web, bénéficier d’une ergonomie et d’une indexation de contenus de qualité… pour mieux trouver le contenu et le consulter aisément.

Les bonnes pratiques Opquast de qualité Web sont disponibles sous la forme d’une liste (avec sélection multi-critères) ou bien via un moteur de recherche interne.

Liste des thématiques des bonnes pratiques : Alternatives ; Code ; Contact ; Contenus ; E-Commerce ; Espaces publics ; Fichiers et multimédia ; Formulaires ; Hyperliens ; Identification ; Internationalisation ; Navigation ; Newsletter ; Présentation ; Serveurs et Performances ; Syndication ; Sécurité et confidentialité ; Tableaux.

A noter que les bonnes pratiques Opquast sont proposées sous une licence Creative Commons CC-BY-SA.

9 exemples de chartes d'utilisation de pages Facebook

logo Facebook

De plus en plus d’associations, d’entreprises, de collectivités territoriales, d’organismes et aussi d’Espaces publics numériques possèdent une page Facebook.

A mesure que ce nouveau mode de communication et d’échange s’installe chez les internautes, des chartes d’utilisation et chartes de modération des pages Facebook voient le jour afin d’expliciter des règles communes d’utilisation “engageant” les contributeurs et les administrateurs-modérateurs de la page créée et accueillant du contenu.

Voici différents exemples de chartes d’utilisation de pages Facebook ou chartes de modération de pages Facebook qui peuvent aider à élaborer sa propre charte ou à guider des personnes en charge de cette mission ; chacune de ces chartes correspond à un contexte particulier :

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Le Web municipal au Québec en 2009, Portrait de la situation

en-tete du site internet de Plessisville

Le CEFRIO (Centre francophone d’informatisation des organisations), organisme Canadien, vient de publier son étude Le Web Municipal au Québec en 2009- Portrait de la situation, présentant l’analyse de 727 sites Internet, un travail de recherche mené en partenariat avec le Groupe de Recherche sur les Collectivités en ligne de la Faculté d’Administration, Université de Sherbrooke (GRECUS) pour le compte du Ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire (Québec). Deux précédentes études similaires ont été publiées par le CEFRIO : en 2004 et 2006.

Rapport final

Le rapport final est décliné en 2 versions gracieusement téléchargeables :

Nous indiquons l’existence de ces publications car de plus en plus d’EPN (Espaces Publics Numériques) et d’acteurs de terrain de l’accès public à l’Internet travaillent sur la thématique du site Internet municipal en France.

Par ailleurs, l’existence des EPN est indiquée sur les sites Web municipaux (voire plus avec une rubrique dédiée) et des activités de fourniture de contenus pour le site Web de la collectivité territoriale (Patrimoine, Histoire, Culture locale…), d’accès à l’administration en ligne, de présentation des ressources municipales en ligne sont parfois menées par l’Espace Public Numérique.

Points clés du Web municipal au Québec

Quelques faits tirés de cette étude 2009 :

  • La présence en ligne des petites municipalités progresse plus rapidement que les grandes en ce qui a trait au taux de présence en ligne,
  • De manière générale, les municipalités du Québec utilisent principalement leur site Web pour promouvoir leur développement,
  • Les petites municipalités peuvent faire preuve de créativité et bien se positionner sur le Web, malgré les contraintes et les défis auxquels elles font face,
  • Plus de 3 sites sur 4 fournissent de l’information générale sur la municipalité (conseil municipal, histoire et géographie) ainsi que sur la vie communautaire (liens vers des organismes sociaux et vers les bibliothèques),
  • Un peu plus de la moitié des sites renseignent aussi sur certains services municipaux et fournissent des liens vers divers organismes privés et gouvernementaux.

Le rapport final propose une très intéressante grille d’analyse du Web municipal (figure 1, page 12) et des Municipalités Régionales de Comtés de Québec (figure 2, page 15) largement explicités dans le Chapitre 2 (Méthodologie de recherche). Les questionnaires complets figurent en annexe (fin d’étude).

Tout au long du document final, des récapitulatifs, avantages liés à l’évolution et à l’utilisation des sites Web municipaux traduisent l’importance de cette présence en ligne pour les multiples acteurs de la société (administration, collectivité, citoyens, monde associatif, univers économique).

Quid de la participation citoyenne et du marketing territorial sur les sites Internet municipaux

Le développement (possible) de la municipalité sur le Web fait l’objet d’un tableau récapitulatif en page 25 qui montre une évolution notable vers une possible participation citoyenne en ligne (forums, chat, groupe de discussion, blogs, utilisation active des réseaux sociaux…). On y remarque que ce type de sites Web participatifs et d’une présence en ligne sur les réseaux sociaux est très très minoritaire et fait même figure d’exceptions.

Un point complet est effectué sur le “Marketing territorial” autrement dit les items du site Web faisant la promotion du site Web auprès des visiteurs dans un objectif de développement économique, avec comme dominante constatée un axe sur le secteur touristique.

Le rapport dresse ensuite un panorama des meilleures pratiques constatées en matière de Web municipal. Il est par ailleurs noté que la taille des municipalités, la ruralité et même un faible taux de branchement à Internet ne sont pas nécessairement des obstacles à la construction de bons sites Web pour répondre aux besoins des municipalités et des citoyens.

Un document présentant un état des lieux des sites Web des collectivités territoriales au Québec qui met également en avant des améliorations possibles.

Crédit image : En-tête du site Web municipal de Plessisville distingué dans l’étude comme “une municipalité rurale d’assez petite taille où le branchement à la haute vitesse est significativement moins répandu que dans le reste de la Province, mais dont le site Web offre beaucoup d’informations et de fonctionnalités pertinentes aux utilisateurs”.